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Paroles et musique de Dan Speerschneider
un album pour célébrer la vie ;-)

samedi 26 août 2017

Vidéo : Je suis ce que cherche

Vidéo : Je suis ce que cherche


Suite à la demande par mail de Phillippe d'approfondir le sens de la phrase "Je suis ce que je cherche", nous nous livrons ici à une exploration de ce pointeur non duel, pour inviter à reconnaître notre vraie nature déjà présente.


NB : Pour ceux qui sont intéressés par un accompagnement individuel non-duel à Paris ou par Skype ou une séance d'accompagnement psycho-corporelle pour laisser éclore les émotions bloquées, veuillez me contacter au 06 63 76 90 81 ou sur mon mail : adnnn1967@gmail.com

Si vous voulez vous inscrire pour les rencontres non duelles (sur la base d'une participation en conscience) qui ont lieu de façon bi-mensuelledans le 19e à Paris, écrivez-moi un sms sur le numéro ci-dessus.

vendredi 25 août 2017

Je suis la Vie


Il y aura un moment dans ta vie où tu réaliseras que tu n'as jamais eu le choix. Que chacune de tes pensées et chacun de tes actes ont toujours été totalement conditionnés par une infinité de causes impliquant l'univers entier et dépassant tout entendement. 

Tu reconnaîtras soudain que la personne n'est qu'un ensemble de mémoires sans vie et qu'aucun fragment transitoire ne sera jamais libre ni éveillé. 

Tu découvriras alors que ton impression d'être libre n'a été qu'ignorance et prétention. Que ton impression de savoir quoi que ce soit n'a été que le fruit d'un lourd conditionnement et d'une profonde hypnose.

Tous les masques se fondront soudain dans un authentique "je ne sais pas".

Fais de cet Espace de non savoir et de cette vulnérabilité au chaos de la vie, ton chemin sans chemin à la trace du désert.

De l'impuissance totale, de l'abandon absolu à ce qui est, surgira une puissance inconnue et pourtant reconnue.

C'est la puissance impersonnelle et omniprésente de la Vie.

Il y a là une saveur intense que le corps ne goûte pas.

Un "je suis" se dissolvant dans un mystère plus profond encore. Une réalité sans forme se révélera dans toute forme. Et tu sauras que c'est Toi.

Tu seras libre, libre de l'illusion d'être quelqu'un, libre du rêve du temps et de l'incarnation, libre de tout imaginaire, libre du désir même d'être libre.

Et tu sauras :" Je suis la Vie".

NB : Pour ceux qui sont intéressés par un accompagnement individuel non-duel à Paris ou par Skype ou une séance d'accompagnement psycho-corporelle pour laisser éclore les émotions bloquées, veuillez me contacter au 06 63 76 90 81 ou sur mon mail : adnnn1967@gmail.com

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Belles éclosions à tous 
La photo en Vision Sans Tête 
comme outil d'investigatiuon du Soi


Une photo en vision sans tête est toujours l'occasion de réaliser de façon intuitive que les couleurs et les formes apparaissent invariablement dans un espace transparent et conscient au-dessus de nos épaules.
Elle ouvre une lézarde dans les filtres de notre mode de perception habituel qui, si vous devenez vraiment curieux à propos de ce que la brèche révèle, pourrait bien faire culminer l'étonnement premier en un absolu émerveillement d'être et en un changement radical de paradigme, du style : je ne suis pas dans un corps, localisé dans le monde : Le corps et le monde sont en moi !
En effet, l'espace vacant que révèle une photo en vision sans tête n'a pas et pour cause de visage, et donc pas d'identité particulière. Elle n'est associé à aucune histoire ni à aucun imaginaire personnel.
C'est un espace de vacuité absolument désintéressé, comme pourrait être le cadre d'un appareil photo qui aurait toujours été là, depuis toujours, sans préférences pour ce qui en lui apparaît et disparaît. Un espace témoin, silencieux de commentaires, qui n'est absolument pas investi dans la manifestation, ni dans l'illusion du temps.

Simple présence atemporelle.

Toute photo est en soi une vision sans tête

Toute photo, tout regard est déjà en soi une vision sans tête (voir la photo ci-dessus), me direz-vous, mais nous ne le remarquons pas. Pourquoi ? Parce que le mental imagine toujours subrepticement que ce qui est perçu est perçu par une personne. Nous ne percevons presque jamais le corps, le mental ou le monde de façon directe et réellement subjective, à partir de cette Vision sans Tête (VST) de la Première personne que nous somems vraiment. 

Dans notre mode de perception habituel, nous passons presque sans cesse par des filtres d'imaginaire transparents qui surimposent dans l'expérience directe une représentation de soi-même. Et, cette représentation médiatisée de soi en tant que troisième personne en train de vivre l'expérience et d'être en relation avec les perceptions, voile la réalité de la perception directe. 
Nous sommes sans cesse en train de visualiser toute expérience au travers des pensées.

Ce qui fait la spécificité d'une photo en vision sans tête est le fait d'ajouter dans le cadre une partie du corps de celui qui fait la photo afin justement, de suggérer que l'origine du regard dans l'expérience directe, n'est jamais deux petits yeux comme nous l'imaginons par habitude et par inattention, mais un espace sans forme et sans tête. C'est ce que l'on appelle au cinéma la "caméra sugjective."
Dans le film de science fiction Avatar de James Cameron, lorsque le personnage principal est "tranféré" dans le corps de son avatar et qu'il se réveille, cette scène est filmée en caméra subjective. La caméra est placée à la hauteur des yeux du corps de l'avatar et le spectateur peut alors avoir encore plus l'impression de revêtir lui-même ce nouveau corps tout bleu.
C'est toujours très étrange de voir ses propres bras ou jambes sortir d'un espace de vacuité, n'être attachés à rien. C'est un peu comme s'ils venaient de naître, comme s'ils étaient perçus pour la première fois.

En nageant le crawl dans les eaux chaudes de la Sicile, cette semaine, vêtu du masque de plongée révolutionnaire de Décatlon sans tuba, où l'on peut respirer invariablement par la bouche ou par le nez et, où l'on a un grand angle de vision, je voyais des mains et des bras plonger à partir du vide et revenir au vide, des bulles d'air se créer et se décréer. Le corps semblait avancer au travers des rochers et des algues, des bancs de poissons et de crabes, mais l'Espace sans forme dans lequel ces couleurs et apparences de mouvements prenaient place demeurait immuable. Avec la Vision Sans Tête, l'injonction de Krishna à Arjuna dans la Baghavad Gita, d'agir sans se préoccuper des fruits de son action, à partir donc de l'espace de l'atemporelle présence que nous somems devient soudain évidente. Quelle beauté, quelle maguie, que de voir le monde à partir de cette ouverture impersonnelle.

Ici c'est du point de vue pédagogique clairement une photo en Vision Sans Tête. C'est le même panorama que dans la photo précédente, mais cette fois dans le champs de vision, il y a un doigt qui pointe vers l'origine de la perception et qui invite le spectateur à en faire de même pour réaliser qu'il n'y a personne au centre de la perception, que c'est en quelque sorte un espace impersonnel qui perçoit et qu'entre cet espace impersonel et la chose perçue vous ne pouvez trouver aucune démarcation, aucune séparation, aucune division entre un intérieur et un extérieur. L'absence de tête et donc de moi séparée révèle se soi l'unité mystérieuse de la Vie une et impersonnelle.

Car du coup ce ne sont plus "vos" bras mais "des" bras apparaissants dans l'espace. Ce sont "des" bras, "des" jambes, et "un" buste, un corps n'appartenant à personne. Un corps apparaissant dans l'espace. Il devient alors évident dans une première étape que Vous êtes l'Espace impersonnel qui perçoit et non pas le corps qui est perçu, même si celui-ci a bien un nom et une forme. 

Plus tard ou tout de suite, vous disparaissez en faveur du monde. Il n'y a que le Sans Forme prenant cette forme-ci. Il n'y a qu'unité silencieuse.


L'identification au corps s'effondre. Le mouvement de saisie et d'appropriation se dissout.


Certes le buste et les jambes qui sont perçues sur la photo "appartiennent" à un corps mental qui a un nom, c'est à dire à une personne. Et, on a associé ce corps à un nom afin de pouvoir le différencier des autres corps. Et, c'est bien sûr essentiel d'en avoir conscience pour se développer en tant qu'humain. Pour pouvoir être accepté par la tribu des Hommes et vivre en société, je dois savoir comment j'apparais pour les autres.


Mais comment est-ce que j'apparais vraiment pour moi-même ? C'est la question essentielle qui n'est presque jamais posée et qui change tout. et du coup, comment est-ce que moi en tant que "Première Personne", sujet pur,  je perçois le monde ?
Voilà ce à quoi répond Atmanada Krishna Menon,, Ramana Maharshi, Nisargadatta Maharaj et tous les dits "éveillés" ou sages de la planète, ainsi que, de façon extrêmement simple, ludique et pédagogique, une photo en vision sans tête !
Une photo en vision sans tête révèle en effet que le lieu d'où la photo est prise, d'où semble naître la perception, ne peut lui-même être perçu. C'est ce que nous disent tous les grands sages authentiques : cela qui perçoit ne peut être perçu puisque ce n'est pas un objet, et pourtant la première étape vers l'éveil à votre vraie nature c'est reconnaître que vous êtes Cela qui perçoit et ne peut être perçu. 

C'est "mon" expérience directe ici et maintenant. Et, si vous cessez de regarder au travers du filtre de vos croyances, vous détendez et devenez conscient maintenant de ce à partir de quoi vous percevez, c'est également "votre" expérience.


Avec les expériences de la Vision sans Tête et pourquoi pas une simple photo en VST, ainsi qu'une bonne dose d'inférence logique et une pincée d'intuition, il vous est très aisé de réaliser que vous pouvez vous mettre à la place de cet espace impersonnel d'où tout et perçu. Il est en quelque sorte "interchangeable". Car, si cet espace est une non chose qui perçoit les choses, alors nous faisons chacun cette expérience subjective d'être une non chose percevant des choses à chaque instant de notre vie.


C'est juste que, par ignorance et manque d'attention nous croyons que ce qui perçoit peut lui-même être perçu. Nous croyons habituellement que ce sont les yeux et le cerveau qui perçoivent, et donc que c'est ce que nous appelons une personne, le corps mental, avec son histoire et ses préférences personnelles qui est à l'origine de la perception.
Quelle surprise émerveillante de découvrir que là où, par inadvertance, je plaçais habituellement une tête et deux petits yeux, se révèle soudain un vide abyssal, un espace transparent de non savoir, mais une vacuité consciente, accueillant depuis toujours sans exception, toute forme, toute couleur, toute perception, toute expérience.
Je disais "je vois la mer " et imaginais une personne en train de percevoir la mer. Car en réalité nous sommes sans cesse en train de nous imaginer à la troisième personne. Ça dit "je" mais c'est un faux "je". C'est un "je" fait d'imaginaire, une simple pensée, une simple perception. 

Puis, il est réalisé que la pensée "je vois la mer" est une simple pensée. Et, qu'une pensée ne voit jamais rien, n'entend rien, ne sent rien et n'est absolument pas consciente.



Wow ! Une croyance racine tombe. Et toute l'arborescence de croyances qui y est attachée se dissout avec elle.

Le bras semble émerger du vide et, intuitivement, cette photo en VST suggère que c'est à, partir de ce vide que la perception se fait à chaque instant de notre vie.
La pensée "je vois la mer" est en réalité elle-même perçue par quelque chose qui la précède et qui n'est pas quelque chose, car cela ne peut être perçu. La pensée "je vois" apparaît dans un regard libre de pensées, un regard libre du temps et de la personne. Ce regard impersonnel et pourtant si proche que je peux intuitivement saisir qu'en réalité c'est Cela qui est intimement moi-même. Il nous est possible de pressentir que c'est vraiment cette Présence consciente, sans forme et silencieuse de commentaire, à laquelle se référait originellement le mot "Je" au moment d'être conscient d'être conscient, avant même de se confondre avec un nom et une forme et de se perdre dans le dédale des "je suis ceci" et des "je suis cela" : le rêve de la séparation.
De plus, il n'y a nulle frontière entre cet espace impersonnel et les couleurs qui apparaissent en lui.
Il y a soudain une telle intimité avec tout ce qui m'environne. Les couleurs sont étonnamment vives, presque vivantes. Les sons se découpent soudain avec une étonnante acuité. Les sensations sont brusquement si intenses. La moindre sensation de fourmillement provoque une extase. Les effluves d'algues enivrent tout l'espace. Les vagues, les reflets mouvants du soleil sur elles. Le ballet incessant des couleurs et des formes toujours changeantes. Tout ça ne se passe plus là-bas, mais survient ici-même, à 0 cm de moi-même, au sein même de cet espace sans personne.


Je suis les vagues leur mouvement, les reflets de lumière, les sons de la plage. La sensation chaude et granuleuse du sable, les bleuités de la mer et du ciel.
Une photo sans tête est toujours une invitation à s'éveiller du rêve de la séparation et réaliser que je suis ce que je cherche.
Les expériences de la vision sans tete sont un des outils les plus simples et les plus efficaces que je connaisse pour réaliser le Soi.
C'est en tout cas sûrement la voie la plus pratique et facile (si nous sommes voyants) pour transposer la Conscience de qui nous sommes dans le chaos du quotidien, dans le tourbillon de la vie, dans nos relations avec les autres, et ce même au sein des conflits. C'est une "méditation pour le marché" comme disait Douglas Harding que vous pouvez non pas faire mais être, sans que votre entourage ne s'en rende compte et envoie la brigade de l'hôpital psychiatrique avec une camisole de force ...
C'est discret et vous permet simplement de réaliser à tout instant que vous êtes espace sans forme pour toute action, situation, expérience, perception.


Il n'y a qu'à inverser la flèche de l'attention vers la source du regard. En quelque sorte laisser les perceptions (formes et couleurs, choses et créatures) vous regarder, pour que cet espace atemporel se révèle. Tout ce que vous semblez percevoir pointe en réalité vers vous, et ne cherche qu'à retourner en leur Source unique et impersonnelle : Vous.

NB : Pour ceux qui sont intéressés par un accompagnement individuel non-duel à Paris ou par Skype ou une séance d'accompagnement psycho-corporelle pour laisser éclore les émotions bloquées, veuillez me contacter au 06 63 76 90 81 ou sur mon mail : adnnn1967@gmail.com

Si vous voulez vous inscrire pour les rencontres non duelles (sur la base d'une participation en conscience) qui ont lieu de façon bi-mensuelledans le 19e à Paris, écrivez-moi un sms sur le numéro ci-dessus.



Belles éclosions à tous 🙏🏻❤️☀️






Vous êtes Cela

Du fait même qu'il y ait perception du mental du corps et du monde, vous êtes nécessairement cela qui perçoit. Cela n'est-il pas évident ? Et ce, même pour une personne qui n'a pas le désir de se connaître vraiment ou qui n'a pas d'intérêt pour la recherche spirituelle authentique ou la non-dualité ?
Et, si cela n'est pas évident pour vous, faites simplement les expériences de la Vision Sans Tête de Douglas Harding. Et, constatez que chaque fois que vous tenterez de voir directement cela qui perçoit, au lieu d'un visage et deux petits yeux, l'apparence d'une personne, se révélera un espace sans forme et sans âge.
Vous êtes mais vous n'êtes pas une personne ou quelque chose. Vous êtes une non chose.

Not a thing, no thing, nothing ! Rien. 

Mais un rien conscient d'être conscient.

Vous êtes nécessairement déjà présent et conscient, avant les perceptions.
Après une investigation honnête et déterminée, il devient vite évident que cela par quoi les perceptions sont perçues n'est pas Lui-même une perception.


Dans la Kena (kena signifie "ce par quoi" en sanscrit) Upanishad il est dit :
"Ce n'est pas ce que l'œil voit, mais CE PAR QUOI l'œil voit. Tel est le Brahman (le Soi) et non cela qu'on honore comme tel (les Dieux)."
Cela qui perçoit ne peut être décrit ni perçu.
Les perceptions (pensées, sensations perceptions) sont transitoires. Elles changent sans cesse. Mais vous qui en êtes conscient, ne demeurez-vous pas la même Présence immuable ?
Soyez conscient d'être cette Conscience qui est sans forme et sans caractéristiques et qui n'a ni commencement ni fin, dans laquelle toute expérience prend place.
Vivez en Conscience le fait d'être ce à partir de quoi tout est perçu mais qui ne peut Lui-même être perçu. Au cours de l'investigation exploratrice dont le terrain de jeu par excellence est le fleuve tranquille ou agité est votre quotidien.
Vous réalisez alors que tout apparaît et disparaît en Vous, Vous en tant que cette Conscience sans forme et sans âge.


Puis, en demeurant en tant que ce que vous êtes vraiment, il est réalisé que tout apparaît non seulement en Vous, mais également EN TANT que Vous. Vous réalisez que toute perception (corps, mental et monde) est une expression de Vous.
Là, tous les mots sont caduques. Ce que Vous êtes-vous vraiment ne fait nul commentaire et n'a ni désir ni savoir. Un silence se révèle qui enveloppe toute perception.
Vous réalisez que ce que Vous êtes vraiment est la source même de toute la manifestation.
De même que toutes les vagues de l'océan sont constituées de la même eau, de même vous réalisez que malgré la multiplicité incroyable des formes dans l'univers, toutes, sans exception, sont composées de la même substance : du Soi unique et impersonnel.
Émerge alors du cœur de votre être un amour qui n'est ni le résultat d'un choix personnel, ni d'aucune préférence ni d'un quelconque attachement.
Émerveillez-vous du rêve de la manifestation dans toutes ces dimensions.
Émerveillez-vous d'être le rêveur atemporel, non impliqué dans l'illusion de la durée. Et pourtant, en douce intimité avec chaque pan du rêve qui se reflète en vous.
À chaque instant de votre vie et, pourquoi pas le réaliser pleinement maintenant  ? Vous êtes l'amour avec lequel vous aimez tout ceci.
Le commandement "aimez-vous les uns les autres" de l'Évangile de jean (13.34) vient de ce pressentiment qu'il n'y a que l'Un, et que nous pouvons réaliser cette unité en nous-mêmes. Comment  ?En retournant l'attention vers la source de l'attention et réaliser que le "royaume de Dieu est au millieu de nous (Luc 17.21)."
Jaques Brel disait "on n'a que l'amour", et je vous le dit : "Il n'y a que l'Amour" !

Vous êtes l'amour avec lequel je vous aime


NB : Pour ceux qui sont intéressés par un accompagnement individuel non-duel à Paris ou par Skype ou une séance d'accompagnement psycho-corporelle pour laisser éclore les émotions bloquées, veuillez me contacter au 06 63 76 90 81 ou sur mon mail : adnnn1967@gmail.com

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